Je ne suis pas de ces personnes qui plus que tout souhaitent avoir raison. Je m’en fous. J’aime autant avoir tort, même plus encore : j’ai le sentiment que l’on m’éclaire, que l’on m’enrichit, que l’on m’instruit. Cela est une délectation. Mais l’affaire Bygmalion nous oblige, nous ne pouvons vous exonérer, vous, militants de l'UMP. Nous citoyens apartides*, ni de gauche, ni de droite, ces abstentionnistes que l’on méprise ouvertement, nous ne pouvons vous exonérer de votre fanatisme. Votre adoration pour Monseigneur de Nagy Bocsa, j’ai nommé Sarkozy dernier, vous a aveuglés. Vous n’avez alors pas voulu voir ce nez qui s'allonge sans cesse au milieu de la figure. Pourtant, nous, loin de tout esprit partisan ou autres hooliganismes politiques, ni de de droite, ni de gauche, juste avide d’humanité et de justice, nous vous suppliions de ne pas vous laisser duper. Votre responsabilité est aussi lourde que celle des militants PS qui ont mis Hollande au pouvoir !
